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Publié le: 07/02/2014

L’échantillon de l’étude est composé 842 Pompes à Motricité Humaine (PMH) situées dans 7 communes rurales (Arbinda, Gorgadji, Markoye, Mansila, Seytenga, Tankougounadié, Titabé) et 16 villages rattachés à la commune urbaine de Dori.

Elle compare les dépenses effectives en investissement, en fonctionnement et en renouvellement  aux coûts de référence établis par la Direction Générale des Ressources en Eaux (DGRE) et met en évidence un type de dépense qui est absent de la nomenclature nationale : le coût d’appui aux communes et aux associations des usagers d'eau (AUE).

Globalement, le coût à long terme des PMH marque des différences très nettes avec les coûts de référence en vigueur dans le secteur, hormis pour le coût d’investissement.

L’étude invite à une réflexion sur l’organisation de la maintenance des PMH : l’échelle villageoise ou l’AUE est trop étroite pour assurer le financement des réparations, et particulièrement des grosses réparations. Au niveau de contribution des ménages donné, il devrait être possible d’être plus efficace. Une seconde réflexion concerne le coût d’appui. Absent de la nomenclature des coûts du secteur, il est, annuellement, nettement plus important que les autres dépenses récurrentes, et, dans la durée, supérieur au coût d’investissement.

L’étude est réalisée dans le cadre du Programme WA-WASH, financé par l’USAID, dans sa composante Triple-S mis en œuvre par IRC.

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